Le prix Femina a couronné au premier tour le roman de Simon Liberati, Jayne Mansfield 1967 (Grasset).
Egalement au premier tour, l’Américain Francisco Goldman remporte le Femina étranger pour Dire son nom (Bourgois)
et Laure Murat reçoit le Femina essai pour L’homme qui se prenait pour Napoléon : pour une histoire politique de la folie (Gallimard).
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On en a tellement parlé, on l’a tellement vu partout, ça ne ne m’étonne pas du tout que Simon Liberati l’ait gagné.