Depuis 1983, le prix Louis Guilloux couronne un écrivain faisant valoir dans son œuvre les qualités tant littéraires que « la dimension humaine d’une pensée généreuse, refusant tout manichéisme, tout sacrifice de l’individu au profit d’abstractions idéologiques ».
est donc primée par le conseil général des Côtes-d’Armor, et c’est Le Sari vert qui est mis à l’honneur par cette récompense.
Elle succède ainsi à Bernard Chambaz, qui l’an passé avait été primé pour Yankee.
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